En 1986, alors qu’Amnistie internationale célébrait son 25e anniversaire, ma bonne amie Marielle Séguin, alors associée à l’entreprise de relations publiques Bazin, Dumas, Dupré et Sormany, avait eu comme idée de demander à 25 agences de publicité de Montréal de créer une affiche pour souligner l’événement, sous le thème Y a pas de quoi fêter.
J’avais alors créé, en collaboration avec mon ami peintre-illustrateur Michel-Thomas Poulin, concepteur à la même époque des premières affiches du Cirque du Soleil, le concept d’un prisonnier d’opinion dont on ne voyait que l’ombrage projeté sur le plancher et la muraille de sa cellule : Aidez-les à sortir de l'ombre. Pour l'ambiance et le lettrage, nous nous étions inspirés du CD et du film The Wall, de Pink Floyd, paru au début des années 1980.
J’avais alors créé, en collaboration avec mon ami peintre-illustrateur Michel-Thomas Poulin, concepteur à la même époque des premières affiches du Cirque du Soleil, le concept d’un prisonnier d’opinion dont on ne voyait que l’ombrage projeté sur le plancher et la muraille de sa cellule : Aidez-les à sortir de l'ombre. Pour l'ambiance et le lettrage, nous nous étions inspirés du CD et du film The Wall, de Pink Floyd, paru au début des années 1980.
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